22 février 2007
MOTEUR ....
Des vagues étirées de nuages sombres
La lune projecteur fixe la scène
J'admire, je respire ce contre-nuit
J'ai toujours aimé le jeu de l'ombre
L'ombre qui m'appelle et qui me suit
Doucement, le vent déplace le décor
Vers d'autres coins de l'immense ciel
Je ne sais pas vraiment où il s'en va
Tu crois aux fuites providentielles
Moi ? Je ne sais plus, je ne sais pas
Avec quoi riment ces semblants de la mort ... (1985)
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